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lundi 20 juillet 2009

Lubumbashi - UNILU : Soutenance de la thèse en Sociologie économique par monsieur Kaimbi Mpyana Delphin.

Le lundi 13 Juillet 2009, l'Université de Lubumbashi a vibré au rythme d'une grande cérémonie de soutenance de Thèse de monsieur Kaimbi Mpyana Delphin. La cérémonie a eu lieu dans la grande salle WAZYA de la faculté des sciences sociales, politiques et administratives, le candidat a brillé par une démonstration hors du commun qui lui a value une mention unanime de " GRANDE DISTINCTION ".
Titre de la thèse : " Économie des contingences et mobilité statutaire des forces sociales marginales dans le district du Haut-Katanga. _Contribution critique à la théorie de l'accumulation du capital_".
Portrait de Kaimbi Mpyana
Delphin Kaimbi est né à Pweto, le 28 Mars 1968; fils de Ilunga Mpyana Félix et de Miriam Chanda Kanam. Il a fait ses études primaires et secondaires a Kilwa (Ecole et Institut Lube) a Kilwa, cité située à 130 kilomètres de Pweto. Puis, il a poursuivi ses études supérieures et universitaires à Lubumbashi, à l’Université de Lubumbashi (UNILU en sigle) ; à la faculté de sciences politiques et Administratives : département de Sociologie et Anthropologie.Il est détenteur des plusieurs diplômes dont : un graduat en Anthropologie, une licence en sociologie, un graduat en Mathématiques de Gestion (Institut Supérieur de Statistique), Master en Sociologie.

Il a cependant occupé différents postes ,nous citerons quelques-uns; Chef de Service de l’Hôtellerie et Restauration à la Division Provinciale du Tourisme, Assistant et Chef des Travaux à l’Unilu, Expert dans différents Organismes Internationaux (B.I.T, F.A.O, UNICEF, BANQUE MONDIALE) et Sociétés Minières et Ministères dont nous citons : Anvil Mining, Gécamines, Comisa, Ministère provincial de l’Environnement, tourisme et Sport.
Il a occupé le poste de Conseiller en matière de l’éducation et jeunesse au Ministère Provincial de l’Éducation, Jeunesse, Culture et Arts du Katanga. Puis il est actuellement conseiller en matière de l'environnement au ministère provincial de l'Environnement , Tourisme, Sport, Culture et Arts.
Depuis le lundi 13 Juillet 2009, il est Docteur en sociologie; option Sociologie Économique avec la mention : " GRANDE DISTINCTION ".

dimanche 19 juillet 2009

Biographie de Mpala Mbabula Louis

MPALA MBABULA Louis (Jahman) est né le 23 décembre 1961,il est originaire de Pweto. Il fit ses études Primaires à Kasenga . En 1981 ; il obtient son Diplôme d’Etat, Option Philo-Latin de l’Institut IMA-KAFUBU à Lubumbashi. En 1984 : Diplôme en Philosophie au Grand Séminaire St- Paul de Lubumbashi . En 1986 : Diplômé en Athéisme (Summa cum laude) à l’Université Pontificale Urbaniana de Rome et en 1997 : Gradué en Philosophie aux Facultés Catholiques de Kinshasa ; en 1999: Licencié en Philosophie aux Facultés Catholique de Kinshasa .Il obtient en 1999: le diplôme d'Agrégé en Enseignement secondaire du degré supérieur aux Facultés Catholiques de Kinshasa.
En 2005, il sort Diplômé d’Etudes Approfondies en Philosophie à L’Université de Lubumbashi . Le 1 JUILLET 2006 : Doctorat en Philosophie (Grande Distinction) à l’Université de Lubumbashi; et en 2007 : Nomination de Professeur Associé Homme de recherche, écrivain et éditeur, Mpala Mbabula a été primé par l’Association des Journalistes Culturels du Katanga comme le meilleur écrivain philosophe du Katanga pour l’année 2002 en date du 06 octobre 2003.


SES ACTIVITES PROFESSIONNELLES
De 1988-1996 : Curé de paroisse
De 1999-2004 : Professeur de philosophie au philosophat du Grand Séminaire Saint Paul de Lubumbashi.
En 1999 : Chargé de cours au scolasticat salésien Don Bosco de Kansebula, chargé de cours à l’I.S.P./Extension Kasenga, chargé de cours à l’Institut Supérieur Interdiocésain Mgr Mulolwa (ISIM).
De 2004 - 2006 : Assistant à l’UNILU, secrétaire du CERPHA (département de philosophie), Secrétaire chargé de la recherche (Département de philosophie).
En 2007- : Professeur Associé à l’université de Lubumbashi, Faculté des Lettres et Sciences Humaines, Département de Philosophie.
Février2007-Février 2009 : Directeur du Centre Universitaire de Kasumbalesa, Extension de L’Université de Lubumbashi.

SES PUBLICATIONS
Livres publiés et édités aux éditions Mpala de Lubumbashi Quelques publications de MPALA Mbabula Louis aux Editions MPALA
1-Que dit la Bible sur la consultation de devin ? 1990
2-Où est Dieu ? Essai philosophico-théologique sur la souffrance 1990
3-Quel discours pour quel développement ? De la philosophie de la conversion mentale (en collaboration avec MISENGA Nkongolo et BADIBANGA Mputu) 1991
4-Les béatitudes pour qui et pourquoi faire ? 1991
5-Du découpage du Katanga 1992
6-À propos matérialisme dialectiques et de ses lois 1992
7-Où est l’homme ? Essai sur l’hypocrisie 1992
8-Du royaume de Dieu sur la terre katangaise. Vol.1 1993
9-Le chrétien face à la politique ou l’éducation à la révolution intégrale 1993
10-Attention à la démocratie consociative du philosophe IRUNG Tshitambal ! 1994
11-Bioéthique biblique ou appel à la conscience humaine 1995.
12-Science et foi ou appel à la maturité humaine. Préface de KASAMWA Tuseko 1995.
13-Education à la conscience et à la raison. Introduction à la philosophie de Masada 1995 .
14-Lecture matérialiste de « La philosophie bantoue » de Placide TEMPELS. Préface de MAYELE Ilo 1999, 2000 .15-Critique de l’anthropologie philosophique de Karl MARX 1999
16-Actualité et limites de la Bolingocratie du Philosophe MVU MBI 2000
17-La dialectique : de Héraclite d’Ephèse à Georges Gurvitch 2000
18-Philosophie pour tous. Cours d’introduction à la philosophie, 2000, 2002
19-La dialectique comme méthode de recherche scientifique 2001
20-Pour vous chercheur. Directives pour rédiger un travail scientifique. Préface de NGOIE Mafuta 2001 21 « Hors-jeu » pour le philosophe MABASI. Etude critique de « Science et philosophie en Afrique » 2002 et en ligne (Internet)
22-L’histoire a-t-elle un sens ? Petite introduction à la philosophie de l’histoire de Karl MARX et de Friedrich ENGELS 2002
23-La conception du travail chez Karl MARX. Préface critique de Tom ROCKMORE 2002
24-Pouvoir et limites de la raison. Cours d’histoire de la philosophie moderne occidentale 2002
25-Euthanasie : pour ou contre ? Approche philosophique. Préface de Maurice CAILLET 2002 en ligne (Internet)
26-La passion de connaître et la recherche du bonheur. Cours d’histoire de la philosophie antique 2003
27- A quand « L’identité post-tribale au Congo-Kinshasa » de Malemba ? 2004
28-Petite introduction aux sources d’information. Préface de E. BANYWESIZE 2005
29-Pour vous chercheur. Directives pour rédiger un travail scientifique suivi de Recherche scientifique sur Internet 2006
30- L’Altermondialisme à l’assaut de la mondialisation. Regard critique. Préface du Pr Nkombe Oleko, 2007 .

Articles publiés dans des journaux et revues divers
1. La conception du travail chez Karl Marx, dans Cahiers de Philosophie et des Sciences du Travail 1 (2004)1,
2. La surdétermination du savoir dans les relations humaines comme instrument de néo-colonisation. Cas de la RDC et de l’Occident (1960-2000), dans 40 ans d’indépendance. Mythe et réalités ? Tome III, Lubumbashi, Presses Universitaire de Lubumbashi, 2004.
3. Education aux élections par les proverbes,
4. Quelle éthique du travail a l’ère de la mondialisation ? dans An.cuksa vol. I N°1(2007)
5. Sur la conception de l’au-delà dans l’Egypte antique, dans Mitunda Vol spécial(octobre 2007).Louis MPALA MBABULA (JAHMAN) est professeur Associé de l'Université de Lubumbashi.
Son site :
http://www.louis-mpala.com/

vendredi 12 juin 2009

LES SECRETS DU SUCCES (Par Joël Kalumba)

Pour parvenir au succès, nous devons savoir ce qui suit:

- Pas de succès sans échecs;

- Dites vous "NON" à la vie; c'est -à-dire : quand chaque jour n'est pas l'occasion d'une fête, quand nous nous laissons gagner par le découragement, quand nous nous fermons aux autres et quand nous avons peur.

  • Première règle d'or : En chaque obstacle, en chaque échec, en chaque desavantage ou défaut dont vous avez été afligé se trouve un bénefice supérieur.Les Effets de la première règle: La Motivation et la détermination.Un pas de plus, et le succès est à votre portée.Souvent immédiatement après un échec retentissant, on connait le succès le plus éclatant.
  • Deuxième règle d'or : Votre jeunesse est un atout.Les Effets de la jeunesse: Enthousiasme, Innovation, Énergie, Spontanéité, Ouverture d'esprit et Nouvelles méthodes.
  • Troisième règle d'or : Savoir ce que vous voulez; faites le premier pas vers sa réalisation.Chacune de vos pensées est un acte.Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas.
  • Quatrième règle d'or : Soyez le plus précis possible. Ajoutez les plus de détails possibles et représentez-vous de ce que vous voulez obténir. Ne vous censurez pas l'établissement de votre objectif. Rélisez tous les soirs avant de dormir votre objectif au moins vingt fois d'affilé ( à haute voix).
  • Cinquième règle d'or : Libérez-vous de la peur.Bannaliser la peur qui est votre grand ennemi. La peur est le résultat d'une mauvaise compréhension de la vie et d'un manque de confiance et d'estime de soi. Soyez persuadé que votre poste existe et qu'il suffit de chasser la crainte et le doute en vous. Et les choses se passeront comme de la magie.
  • Sixième règle d'or : Faites le premier pas. Faites quelque chose avant toute chose.Paraphrasons la célèbre phrase de KENNEDY: "Ne vous demandez pas ce que votre futur employeur peut faire pour vous. Demandez-vous plutôt ce que vous pouvez faire pour lui". La loi éternelle de la compensation: "Faites le premier pas envers l'autre".
  • Septièmerègle d'or : "Plus on donne,Plus on reçoit". C'est une application directe de la loi de la compensation.
  • Huitième règle d'or : Se connaître soi-même et devenir ma6itre de son propre esprit.tout ce que l'esprit humain croit qu'il peut accomplir, il peut accomplir.
  • Neuvième règle d'or : Aider les autres. Sois honnête avec toi-même et ne jamais trahir ta conscience.

mardi 9 juin 2009

LA VILLE DE LUBUMBASHI (Par Joël Kalumba)

La Ville de Lubumbashi - Wantashi


Lubumbashi est la deuxième ville la plus peuplée de la République démocratique du Congo, après Kinshasa,sa population avoisinerait 2 millions d'habitants d'après les dernières estimations.C'est la capitale économique de la R.D.C; elle est également la capitale de la province du Katanga. La ville de Lubumbashi est désignée comme la capitale cuprifère à cause de la production du cuivre.
Fondée en 1910 par les Belges sous le nom d'Élisabethville (d'après Élisabeth de Belgique), la ville fut renommée Lubumbashi en 1965. Elle fut aussi la capitale de l'éphémère État autoproclamé du Katanga (1960-1963), né sous l'impulsion de Moïse Tshombe.
Elle est le siège de plusieurs grandes sociétés congolaises dont la Société nationale des chemins de fer du Congo, la Gécamines et le groupe George Forrest.
Lubumbashi tire son origine du nom de la rivière au bord de laquelle elle avait été fondée. À l'occasion de la politique et philosophie de retour à l'authenticité prônée par le Président Mobutu, la ville - jadis Elisabethville - portera le nom de Lubumbashi en 1965.La prison de Kasapa est située à Lubumbashi.

Historique

La ville n’existe pas comme telle durant le XIXe siècle, bien que le site de Lubumbashi ait été occupé avant la colonisation.
À cause de sa situation géologique, à croire le rapport de Jules Cornet qui laisse entrevoir la grande richesse du sous-sol, l’actuelle région de Katanga reçoit des visiteurs – prospecteurs de toute l’Europe. Dès le début des années 1900, une société est constituée à Bruxelles pour assurer la mise en valeur des richesses du sol et du sous-sol. C'est l'Union minière du Haut Katanga (UMHK), actuel Gecamines. L’exploitation de la mine de l’Étoile commence. Le minerai de cuivre y est présent en grande quantité.
Pour des raisons propres à l’entreprise, elle décide d'installer une fonderie près des chutes de la Lubumbashi (qui lui fournit de l'eau en très grande quantité, les chutes étant de surcroît une source d'énergie possible). La fameuse cheminée se construit. De cette fonderie, sortent des lingots de cuivre.
La nécessité d'être avec un connaisseur se fait sentir. Le major ingénieur Emile Wangermee connaît bien le pays et se voit directement attribuer la mission de créer la nouvelle ville. Il choisit l'endroit : près de la mine de l'Étoile et près de l'Union minière du Haut Katanga. Il est considéré comme le fondateur de la ville.
Le personnel de la mine logeait dans les environs immédiats, dans des paillotes. À une quinzaine de kilomètres de là, se développent, dans des huttes, les services administratifs, la poste, les finances, la justice. L'atmosphère qui y règne est celle du Far West.
En 1909, la ville est créée sur papier : un quadrilatère de 20 kilomètres carrés de forêts. Il faudra défricher, araser des termitières, avec les moyens de bord.


Héraldique
Elles sont blasonnées comme suit : " D'argent au chevron de gueules, chargé d'une lettre majuscule romaine E sommée d'une couronne royale, le tout d'argent et accompagné de 3 croisettes monétaires katangaises de gueules. Devise : Ex imis ad culmina (des profondeurs vers les sommets), de gueules sur un listel d'argent."
Signification : Les croisettes monétaires katangaises rouges évoquent la richesse minière en cuivre du Katanga. Dans le même ordre d'idées, le chevron rouge pourrait symboliser une coulée de cuivre, à moins qu'il n'évoque l'extraction du minerai, comme pourrait le suggérer la devise qui signifie « des profondeurs vers les sommets ». Aujourd'hui, on pourrait aussi y voir le profil du terril, élément du paysage caractéristique de la ville. Tout ceci n'est toutefois qu'hypothétique. Quant au « L » couronné, il constitue une marque signifiant:" Lubumbashi ".
C'est avec cet écu que les « croisettes monétaires katangaises » firent leur entrée parmi les figures héraldiques.

Cet objet en cuivre, qui servait de monnaie aux indigènes du Haut-Katanga jusqu'à l'arrivée des Européens, se présente comme une petite croix légèrement pattée et aux extrémités arrondies, de 20 cm environ de côté. Cependant, en la représentant comme une petite croix grecque, les héraldistes officiels belges, mal informés, commirent une regrettable erreur. Au Katanga, elle est en effet traditionnellement représentée comme une croix de Saint André. Les armoiries civiques (voir celles de l'État de Moïse Tshombé du Katanga) ou personnelles ultérieures respecteront mieux la tradition.

lundi 8 juin 2009

ÉCONOMIE MORTIFÈRE ET LUTTE CONTRE LA SURVIE EN R.D.C (Par Kaimbi Delphin)


Économie mortifère et lutte contre la survie en RDC

En cette période de mondialisation, il est opportun d'examiner des économies du Tiers-monde, surtout dans les milieux urbains connectés directement au monde extérieur.
C'est dans cette optique que nous écrivons le présent article.
Certes le système capitaliste mondial basé sur la division internationale du travail ne favorise pas l'épanouissement mais encore le développement des pays du Tiers-monde. Cela nous le remarquons en République Démocratique du Congo avec son économie greffée sur la division internationale au travail.
Aussi après observation, nous sommes arrivés à conclure que l'économie en RDC, loin de résoudre l'équation principale "besoin-rareté" et ainsi que créer des richesses à même de satisfaire chaque homme, est passée pour une économie mortifère.
Elle est mortifère parce qu'elle fonctionne selon le principe de "chaque homme est comme tous les autres hommes", aussi pour cette économie, les congolais ressentent les mêmes besoins et selon les proportions égales que les Européens, les Américains, les Asiatiques, les Océaniens. Et toutes les opérations économiques sont soumises à ce principe là. Produire pour l'homme universel, consommer en fonction de l'homme universel, circuler, repartir, investir en prenant en compte l'homme de partout.
Par ailleurs, le fromage de Belgique, le vin de France, le lait d'Hollande... peuvent être consommés dans les villes de la R.D.C ainsi que dans les mileiux très reculés du pays, bien que les produits de consommation préférés peuvent être les besoins indiqués à base des plantes locales et les cossettes de manioc grillés associés aux arachides.
En effet, le gros de commerçants au Congo n'ont comme activité principale l'importation des biens fabriqués pour la satisfaction de l'homme de partout. Ceci a comme conséquence le rejet de la monnaie locale au profit d'un équivalent universel "le dollars, monnaie de reférence et d'importation".
Ainsi la satisfaction des besoins dans une telle économie est soumise à la possibilité d'acquérir la monnaie de reférence. Dans une telle économie mortifère une grande catégorie de la population se trouve affectée.
Et pour lutter contre les mécanismes socio-enthanasiques de cette économie de survie qui est à la base de ce qu'on nomme les marchés pirates.
Dans ces marchés, l'ordre, le loi, n'existent pas.
Il est question ici d'habileté et d'ingéniosité de la part des victimes de cette économie. Ces marchés naissent soit tôt le matin, soit tard le soir, soit alors à une heure précise et à des différents endroits selon l'horaire de sortie ou d'arrivée des travailleurs de l'administration ou des entreprises ciblées.
À défaut, il n'est pas surprenant de voir des mamans, visages sereins, sourires jaunes aux lèvres, déposer leurs produits maraîres ou ceux de leurs ceuillettes (chenilles) devant les entrées des magasins de la ville et ainsi commencer les opérations habituelles d'achat-vente.
C'est certainnement une façon de dire "nous aussi nous voulons vivre selon nos besoins et nos besoins et nos préoccupations quotidiennes".
À plusieurs reprises l'État tente de mettre fin à cette économie de survie sans y parvenir. Les marchés pirates sont une réponse à cette économie qui ne tient pas compte des besoins particuliers des congolais. C'est une économie d'exclusion caractéristique d'ailleurs des économies du Tiers-monde et surtout de l'Afrique sud-saharienne.
Qui pourra alors relever le défi de ces économies mortifères? Est-ce la mondialisation ou les États Africains inscrits dans la spécialisation du travail international?
Texte choisis par Kalumba Nundo Joël.