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vendredi 12 juin 2009

LES SECRETS DU SUCCES (Par Joël Kalumba)

Pour parvenir au succès, nous devons savoir ce qui suit:

- Pas de succès sans échecs;

- Dites vous "NON" à la vie; c'est -à-dire : quand chaque jour n'est pas l'occasion d'une fête, quand nous nous laissons gagner par le découragement, quand nous nous fermons aux autres et quand nous avons peur.

  • Première règle d'or : En chaque obstacle, en chaque échec, en chaque desavantage ou défaut dont vous avez été afligé se trouve un bénefice supérieur.Les Effets de la première règle: La Motivation et la détermination.Un pas de plus, et le succès est à votre portée.Souvent immédiatement après un échec retentissant, on connait le succès le plus éclatant.
  • Deuxième règle d'or : Votre jeunesse est un atout.Les Effets de la jeunesse: Enthousiasme, Innovation, Énergie, Spontanéité, Ouverture d'esprit et Nouvelles méthodes.
  • Troisième règle d'or : Savoir ce que vous voulez; faites le premier pas vers sa réalisation.Chacune de vos pensées est un acte.Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas.
  • Quatrième règle d'or : Soyez le plus précis possible. Ajoutez les plus de détails possibles et représentez-vous de ce que vous voulez obténir. Ne vous censurez pas l'établissement de votre objectif. Rélisez tous les soirs avant de dormir votre objectif au moins vingt fois d'affilé ( à haute voix).
  • Cinquième règle d'or : Libérez-vous de la peur.Bannaliser la peur qui est votre grand ennemi. La peur est le résultat d'une mauvaise compréhension de la vie et d'un manque de confiance et d'estime de soi. Soyez persuadé que votre poste existe et qu'il suffit de chasser la crainte et le doute en vous. Et les choses se passeront comme de la magie.
  • Sixième règle d'or : Faites le premier pas. Faites quelque chose avant toute chose.Paraphrasons la célèbre phrase de KENNEDY: "Ne vous demandez pas ce que votre futur employeur peut faire pour vous. Demandez-vous plutôt ce que vous pouvez faire pour lui". La loi éternelle de la compensation: "Faites le premier pas envers l'autre".
  • Septièmerègle d'or : "Plus on donne,Plus on reçoit". C'est une application directe de la loi de la compensation.
  • Huitième règle d'or : Se connaître soi-même et devenir ma6itre de son propre esprit.tout ce que l'esprit humain croit qu'il peut accomplir, il peut accomplir.
  • Neuvième règle d'or : Aider les autres. Sois honnête avec toi-même et ne jamais trahir ta conscience.

mardi 9 juin 2009

LA VILLE DE LUBUMBASHI (Par Joël Kalumba)

La Ville de Lubumbashi - Wantashi


Lubumbashi est la deuxième ville la plus peuplée de la République démocratique du Congo, après Kinshasa,sa population avoisinerait 2 millions d'habitants d'après les dernières estimations.C'est la capitale économique de la R.D.C; elle est également la capitale de la province du Katanga. La ville de Lubumbashi est désignée comme la capitale cuprifère à cause de la production du cuivre.
Fondée en 1910 par les Belges sous le nom d'Élisabethville (d'après Élisabeth de Belgique), la ville fut renommée Lubumbashi en 1965. Elle fut aussi la capitale de l'éphémère État autoproclamé du Katanga (1960-1963), né sous l'impulsion de Moïse Tshombe.
Elle est le siège de plusieurs grandes sociétés congolaises dont la Société nationale des chemins de fer du Congo, la Gécamines et le groupe George Forrest.
Lubumbashi tire son origine du nom de la rivière au bord de laquelle elle avait été fondée. À l'occasion de la politique et philosophie de retour à l'authenticité prônée par le Président Mobutu, la ville - jadis Elisabethville - portera le nom de Lubumbashi en 1965.La prison de Kasapa est située à Lubumbashi.

Historique

La ville n’existe pas comme telle durant le XIXe siècle, bien que le site de Lubumbashi ait été occupé avant la colonisation.
À cause de sa situation géologique, à croire le rapport de Jules Cornet qui laisse entrevoir la grande richesse du sous-sol, l’actuelle région de Katanga reçoit des visiteurs – prospecteurs de toute l’Europe. Dès le début des années 1900, une société est constituée à Bruxelles pour assurer la mise en valeur des richesses du sol et du sous-sol. C'est l'Union minière du Haut Katanga (UMHK), actuel Gecamines. L’exploitation de la mine de l’Étoile commence. Le minerai de cuivre y est présent en grande quantité.
Pour des raisons propres à l’entreprise, elle décide d'installer une fonderie près des chutes de la Lubumbashi (qui lui fournit de l'eau en très grande quantité, les chutes étant de surcroît une source d'énergie possible). La fameuse cheminée se construit. De cette fonderie, sortent des lingots de cuivre.
La nécessité d'être avec un connaisseur se fait sentir. Le major ingénieur Emile Wangermee connaît bien le pays et se voit directement attribuer la mission de créer la nouvelle ville. Il choisit l'endroit : près de la mine de l'Étoile et près de l'Union minière du Haut Katanga. Il est considéré comme le fondateur de la ville.
Le personnel de la mine logeait dans les environs immédiats, dans des paillotes. À une quinzaine de kilomètres de là, se développent, dans des huttes, les services administratifs, la poste, les finances, la justice. L'atmosphère qui y règne est celle du Far West.
En 1909, la ville est créée sur papier : un quadrilatère de 20 kilomètres carrés de forêts. Il faudra défricher, araser des termitières, avec les moyens de bord.


Héraldique
Elles sont blasonnées comme suit : " D'argent au chevron de gueules, chargé d'une lettre majuscule romaine E sommée d'une couronne royale, le tout d'argent et accompagné de 3 croisettes monétaires katangaises de gueules. Devise : Ex imis ad culmina (des profondeurs vers les sommets), de gueules sur un listel d'argent."
Signification : Les croisettes monétaires katangaises rouges évoquent la richesse minière en cuivre du Katanga. Dans le même ordre d'idées, le chevron rouge pourrait symboliser une coulée de cuivre, à moins qu'il n'évoque l'extraction du minerai, comme pourrait le suggérer la devise qui signifie « des profondeurs vers les sommets ». Aujourd'hui, on pourrait aussi y voir le profil du terril, élément du paysage caractéristique de la ville. Tout ceci n'est toutefois qu'hypothétique. Quant au « L » couronné, il constitue une marque signifiant:" Lubumbashi ".
C'est avec cet écu que les « croisettes monétaires katangaises » firent leur entrée parmi les figures héraldiques.

Cet objet en cuivre, qui servait de monnaie aux indigènes du Haut-Katanga jusqu'à l'arrivée des Européens, se présente comme une petite croix légèrement pattée et aux extrémités arrondies, de 20 cm environ de côté. Cependant, en la représentant comme une petite croix grecque, les héraldistes officiels belges, mal informés, commirent une regrettable erreur. Au Katanga, elle est en effet traditionnellement représentée comme une croix de Saint André. Les armoiries civiques (voir celles de l'État de Moïse Tshombé du Katanga) ou personnelles ultérieures respecteront mieux la tradition.

lundi 8 juin 2009

ÉCONOMIE MORTIFÈRE ET LUTTE CONTRE LA SURVIE EN R.D.C (Par Kaimbi Delphin)


Économie mortifère et lutte contre la survie en RDC

En cette période de mondialisation, il est opportun d'examiner des économies du Tiers-monde, surtout dans les milieux urbains connectés directement au monde extérieur.
C'est dans cette optique que nous écrivons le présent article.
Certes le système capitaliste mondial basé sur la division internationale du travail ne favorise pas l'épanouissement mais encore le développement des pays du Tiers-monde. Cela nous le remarquons en République Démocratique du Congo avec son économie greffée sur la division internationale au travail.
Aussi après observation, nous sommes arrivés à conclure que l'économie en RDC, loin de résoudre l'équation principale "besoin-rareté" et ainsi que créer des richesses à même de satisfaire chaque homme, est passée pour une économie mortifère.
Elle est mortifère parce qu'elle fonctionne selon le principe de "chaque homme est comme tous les autres hommes", aussi pour cette économie, les congolais ressentent les mêmes besoins et selon les proportions égales que les Européens, les Américains, les Asiatiques, les Océaniens. Et toutes les opérations économiques sont soumises à ce principe là. Produire pour l'homme universel, consommer en fonction de l'homme universel, circuler, repartir, investir en prenant en compte l'homme de partout.
Par ailleurs, le fromage de Belgique, le vin de France, le lait d'Hollande... peuvent être consommés dans les villes de la R.D.C ainsi que dans les mileiux très reculés du pays, bien que les produits de consommation préférés peuvent être les besoins indiqués à base des plantes locales et les cossettes de manioc grillés associés aux arachides.
En effet, le gros de commerçants au Congo n'ont comme activité principale l'importation des biens fabriqués pour la satisfaction de l'homme de partout. Ceci a comme conséquence le rejet de la monnaie locale au profit d'un équivalent universel "le dollars, monnaie de reférence et d'importation".
Ainsi la satisfaction des besoins dans une telle économie est soumise à la possibilité d'acquérir la monnaie de reférence. Dans une telle économie mortifère une grande catégorie de la population se trouve affectée.
Et pour lutter contre les mécanismes socio-enthanasiques de cette économie de survie qui est à la base de ce qu'on nomme les marchés pirates.
Dans ces marchés, l'ordre, le loi, n'existent pas.
Il est question ici d'habileté et d'ingéniosité de la part des victimes de cette économie. Ces marchés naissent soit tôt le matin, soit tard le soir, soit alors à une heure précise et à des différents endroits selon l'horaire de sortie ou d'arrivée des travailleurs de l'administration ou des entreprises ciblées.
À défaut, il n'est pas surprenant de voir des mamans, visages sereins, sourires jaunes aux lèvres, déposer leurs produits maraîres ou ceux de leurs ceuillettes (chenilles) devant les entrées des magasins de la ville et ainsi commencer les opérations habituelles d'achat-vente.
C'est certainnement une façon de dire "nous aussi nous voulons vivre selon nos besoins et nos besoins et nos préoccupations quotidiennes".
À plusieurs reprises l'État tente de mettre fin à cette économie de survie sans y parvenir. Les marchés pirates sont une réponse à cette économie qui ne tient pas compte des besoins particuliers des congolais. C'est une économie d'exclusion caractéristique d'ailleurs des économies du Tiers-monde et surtout de l'Afrique sud-saharienne.
Qui pourra alors relever le défi de ces économies mortifères? Est-ce la mondialisation ou les États Africains inscrits dans la spécialisation du travail international?
Texte choisis par Kalumba Nundo Joël.

KAMONA KALENGE Dieudonné (Par Joël Kalumba)


KAMONA KALENGE Dieudonné

Monsieur Kamona Kalenge est fils de Kamona Kamisengwa (Originaire du village Kamukebwile, situé sur le plateau Kipuma de Lwanza) et de Bwalya Mankunga (Originaire de M'pweto, dynastie de Mwabu, dans la chefferie M'pweto).Monsieur Kamona Dieudonné est petit fils de Clément Mankunga Sebente.
Kamona Kalenge Dieudonné est né un certain 5 Mars 1975 à Pweto.Il a gandit à Pweto où il frequenta l'école primaire Kashengeneke.Puis il entama ses études secondaires à l'Institut Cengelo(cha Bumi) de Pweto pour teminer à Kilwa, à l'Institut Lube dans le territoire de Pweto toujours.
Comme si cela ne suffisait pas, monsieur Kamona Kalenge a poursuivis ses études universitaires à l'université de Lubumbashi où il est sorti Licencié en Droit; option : Droit économique et social. Aussi, il est Agrégé de l'enseignement supérieur et Défeseur judiciaire près le Tribunal de Grande Instance de Lubumbashi.
Monsieur Kamona est également activiste de droits de l'homme dans " Libertas ", un chrétien engagé et consacré.

ADAEZE CHINEYE IGWE (Par Joël Kalumba)

ADAEZE IGWE

Adaeze Chinenye Igwe est une fille Top-Model Nigerianne de 22 ans.C'est une jeune et belle fille qui est sorti Miss Top Model 2008 au Nigeria . Elle avait gagné 5 millions de Naira et une voiture Hyundai .
Adaeze Chineye a représentée son pays aux élections des Miss World 2008 à Johannesbourg en Afrique du sud où elle est sorti Dauphine,synonyme de deuxième place de Miss World Sport après une Irlandaise.Elle a été parmi le Top twenty de Miss World Talent.

Adaeze Igwe est étudiante de l'Université d'Abuja, elle originaire de l'Etat d'Anambra.Elle a crée des une fondation denommée : "The Adaeze Igwe Foundation". Cette organisation caritative vise la promotion de la santé et le developpement. Elle prend en charge des enfants et des malades de VIH-SIDA,Tuberculose et Malaria
.

Vincent de Paul LUNDA BULULU

LUNDA BULULU
Vincent de Paul Lunda Bululu est un homme politique de la République démocratique du Congo (RDC), né le 15 octobre 1942 à Mwema-Mulota dans le sud du Katanga, marié et grand-père. Lunda Bululu est professeur à la faculté de droit de l'Université de Kinshasa et à Lubumbashi.Il a été conseiller au bureau de Affaires étrangères en 1984, Secrétaire général de la Communauté économique des États de l'Afrique centrale (CEEAC), en 1984 et pour un deuxième mandat en 1989, Premier ministre du Zaïre, au début de la période de transition, du 4 mai 1990 jusqu'à sa démission le 1er avril 1991, Ministre de Affaires étrangères 1994.
En 2006, il se présente comme candidat à l’élection présidentielle congolaise de juillet 2006.Après avoir fait partie de l'AFDL, il se joint au nouveau parti du Rassemblement congolais pour la démocratie en 1998. En 2001 il rejoint le Mouvement de libération du Congo de Jean-Pierre Bemba, et devient député dans le dialogue intercongolais et commissaire général aux institutions et droits humains, pour démissionner de ce poste en décembre 2004.
Il est président du Rassemblement des forces Sociales et Féderalistes (R.S.F en sigle).Actuellement ,Vincent de Paul Lunda Bululu est sénateur, élu de la circonscription du Haut-Katanga.

LA QUESTION DE L'ÉCHANGE MARCHAND EN MILIEUX RURAUX DE LA RDC (Par Delphin KAIMBI)


La question de l'échange marchand en milieux ruraux de la RDC

Une analyse de la pratique de l'échange en milieux périphériques de la ville de Lubumbashi
Située au sud-est de la République Démocratique du Congo (RDC), la ville de Lubumbashi est parmi les trois grands centres du pays de diffusion de la modernité.
Fille de la colonisation, Elisabethville ou Lubumbashi, présentement a pu s'urbaniser grâce à l'installation d'une industrie cuprifère (l'Union Minière du Haut-Katanga).
Produisant pour la métropole, la ville de Lubumbashi n'est que la périphérie du centre capitaliste qui est ici la mère Belgique. C'est donc dans ce rapport centre - périphérie capitalistes ou ville - campagne que nous tentons d'inscrire nos préoccupations à l'heure où le phénomène d'internationalisation de l'échange marchand devient davantage pressant.
Cependant, nous situons cette petite réflexion non pas au niveau du rapport métropole - colonie, mais bien plutôt au niveau du rapport ville - campagne c'est-à-dire entre la ville de Lubumbashi née du capitalisme et ses périphéries.
Et à ce propos nous nous posons la question de savoir comment les ruraux de la périphérie de Lubumbashi conçoivent - ils l'échange marchand et comment le pratiquent-ils dans leurs rapports avec les citadins?
Il est certes constant que dans la société capitaliste, l'échange marchand est le principe organisateur de l'économie. Et cet échange se fait pas l'intermédiaire d'une mesure et d'un équivalent universel appelé "monnaie". Voilà pourquoi partout au monde, dans des sociétés dites évoluées et surtout capitalistes, l'utilisation de la monnaie s'avère indiscutable et indubitable dans l'échange marchand.
Mais qu'en est-il des milieux ruraux de la périphérie de la ville de Lubumbashi ?
En effet, si la monnaie constitue pour les citadins de Lubumbashi un moyen d'échange (Achat - Vente) des marchandises, il n'en est pas aussi vrai pour les ruraux.
Eu égard à la situation économique de la République Démocratique du Congo depuis plus d'une décennie ; au pouvoir d'achat toujours en déperdition ; aux fréquentes dépréciations monétaires par rapport au dollar américain ; l'incertitude d'un lendemain stable guette toujours les ruraux encrés dans la plupart des cas dans la logique conservatrice ; ce qui jette le doute et le manque de confiance dans tout équivalent universel.
Aussi l'échange marchand avec utilisation de la monnaie est connue comme un faux marché ; un échange sans équivalent ; un véritable marché des dupes dans lequel les ruraux partent perdants contrairement aux citadins qui se réfugient facilement dans des devises fortes ; les ruraux souvent thésaurisateurs ont recours de plus en pus à un forme d'échange apparemment dépassée, le "troc" (marchandise contre marchandise).
Ils sont heureux d'exiger aux citadins un vélo contre payement des sacs de maïs ; un savon ou un pagne pour femme contre quelques verres ou quelques seaux d'arachides. Chose curieuse, même certains services sont affectés par cette forme d'échange. L'on peut facilement vois quelqu'un déposer une poule contre les soins médicaux ou les frais de scolarité des enfants.
La question de l'échange marchand dans les milieux ruraux est une question complexe. De plus en plus, le recours au troc devient quasi général. Et plus l'on est loin d'un centre urbain, plus l'utilisation de la monnaie comme intermédiaire disparaît.
Comment alors envisager la mondialisation de l'économie, si quelque part en Afrique, au Congo ; dans les périphéries de la ville de Lubumbashi, les hommes recourent davantage au troc.
Comment l'Afrique de manière générale, le Congo et les ruraux de manière particulière pourront-ils supporter le poids de cette mondialisation?
Texte choisis par Joël Kalumba

samedi 6 juin 2009

BARBARA KANAM

Barbara Kanam est originaire de la RDC,née à Lubumbashi au Katanga. Elle est l’une des plus belles voix féminines d’Afrique.Après de brillantes études et titulaire d’un BTS en commerce international, elle commence en 1991 le chant en interprétant les répertoires des grandes voix de la chanson mondiale au sein du grand orchestre « Devotion » et perfectionnera sa technique du chant au sein de la prestigieuse école « Psalmody Académy » à Johannesburg (Afrique du sud). Elle y apprend par la même occasion à jouer à la guitare. Au bout de treize (13) mois, elle maîtrise l’instrument avec lequel elle crée un répertoire acoustique pour une tournée « One Woman Acoustic Show » en Afrique centrale (1993).
En 1995 le destin l’emmène à s’installer à Abidjan (Côte d’ivoire) où elle décide de tenter une expérience : être dans une chorale religieuse.
Elle rejoint donc la chorale « GRACE » de Cocody et chante régulièrement à l’église.
Par sa technique vocale et son don de l’écriture et de la composition, Barbara KANAM met sur le marché du disque son 1er album « MOKILI » qui lui permet de se faire connaître du grand public.
S’en suit en 2003 son second album « TETI » qui lui ouvrira les portes de la reconnaissance internationale.
Elle entreprend des tournées à travers le continent africain et en europe.
Elle reçoit par la même occasion différentes distinctions :
* KORA AWARDS du meilleur espoir féminin à Johannesbourg (2003),* KUNDE D’Or du meilleur artiste féminin d’Afrique centrale à Ouagadougou (2004).* TAMANI D’Or du meilleur espoir féminin d’Afrique centrale à Bamako (2004)
En 2005 une réédition de l’album « TETI » est faite par le producteur Kiki Touré et y voit la participation du producteur-arrangeur Edgar YONKEU.
Il sera extrait de cette album le Single « Bibi Madeleine (l’argent appelle l’argent) » avec en featuring Awilo LONGOMBA. Cette chanson connaîtra un immense succès avec une large diffusion à travers les médias africains, caribéens et européens surtout en France.
Barbara KANAM recevra au MUSIC BLACK AWARDS à Cotonou (2005) un prix pour révélation féminine et meilleur clip.
La désormais Diva africaine reviendra en Février 2009 avec son nouvel opus “KARIBU” qui signifie “Bienvenue” en swahili.

mercredi 3 juin 2009

JOSEPH KABILA (Président de la R.D. Congo)

Joseph Kabila Kabange

Fils de Laurent Désiré Kabila, ancien Président de la République Démocratique du Congo et de Mama Sifa Mahanya, le Président Joseph Kabila est né le 4 juin 1971 à Hewa Bora II, Collectivité de Lulenge, Territoire de Fizi, Province du Sud-Kivu en République Démocratique du Congo.
Il est originaire de la localité d’Ankoro, chef-lieu de la Collectivité – secteur de Kamalondo, Territoire de Manono, District du Tanganyika.Le jeune Joseph Kabila commence ses études primaires à Fizi dans le maquis du Sud-Kivu, en République Démocratique du Congo, études qu’il termine à l’école française de Dar-es –Salaam en Tanzanie.Il poursuit ensuite et termine ses études secondaires en Tanzanie.La nécessité de poursuivre la révolution l’oblige à entreprendre en Tanzanie une formation militaire alors qu’il pouvait bien poursuivre une formation universitaire classique comme cela se passe souvent.
En 1996, Joseph Kabila est nommé Commandant des opérations sur l’axe Kisangani ensuite Lubumbashi et Kinshasa pendant l’avancée des troupes de libération vers Kinshasa.En 1997, Il se rend en Chine pour parfaire ses études militaires à l’Université de la Défense Nationale de Pékin.En 1998, Il est nommé Chef d’Etat – major Général adjoint des FAC (Forces Armées Congolaises) et devient en 2000 Chef d’Etat-major de la Force terrestre.
Le 26 janvier 2001, Il prête serment en qualité de Président de la République Démocratique du Congo, succédant ainsi à son Père le Président Laurent Désiré Kabila décédé à la suite de l’ignoble assassinat du 16 janvier 2001. De 2003 à 2006, il dirige un gouvernent de transition issu des négociations politiques de Sun City avec l’opposition armée et non armée dont la mission principale était l’organisation des élections.
En 2006, il gagne les premières élections présidentielles libres, démocratiques et transparentes au suffrage universel direct avec 58% des voix. Il prête serment le 6 décembre 2006 entant que premier Président de la 3ème République Démocratique du Congo.
Joseph Kabila est détenteur d’un Diplôme de Washington International University (Bachelor of Arts in International Studies and Diplomacy).Le Président de la République Joseph Kabila est Docteur honoris causa de la Hankuk University of Foreign Studies de Corée du Sud.Il est marié à Mme Marie Olive Lembe Di Sita et père de famille de deux enfants.

lundi 1 juin 2009

KATY PERRY


Katy Perry est née le 25 octobre 1984 à Santa Barbara, Californie, USA .
Katy Perry n'est pas venue à la musique par hasard. Fille de pasteurs, elle grandit entourée de la musique gospel et chante elle-même à l'église. Le premier album qu'elle sort en 2001 ne comprend que du gospel. Devenue une choriste pour le label The Matrix (Avril Lavigne, Britney Spears), elle commence à travailler à un album en compagnie de Glen Ballard pour l'écriture. Quelques chansons sur son myspace, une interview au Blender Magazine et la B.O du films 4 filles et un jean font décoller la carrière de la jeune et pétillante chanteuse. Courant 2007, elle signe chez Capitol Music. Entourée par de nombreux professionnels comme Greg Wells qui a travaillé avec One Republic et Mika, elle travaille officiellement à son premier album One of the Boys. Bien loin du style chorale gospel avec lequel elle a commencé, les influences sont plus pop rock acidulé sur ce premier album.
Comme une sorte de prélude, c'est un EP produit et co-écrit avec Wells qui sort en 2007. Ur so Gay devient une des chansons préférées de Madonna. Le premier single de One of the Boys, I Kissed a Girl, est lancé sur Itunes en avril 2008 puis sur son myspace en mai. Produit par Dr Luke, dont on connaît les collaborations avec Avril Lavigne et Kelly Clarkson entre autres, il provoque de vives critiques pour oser parler de sexualité et d'homosexualité, promouvant l'homosexualité selon un magazine américain. Elle partage la vie de Travis McCoy, le chanteur du groupe Gym Class Heroes.

ROSELYNE SANCHEZ (Actrice Portoricaine)


ROSELYNE SANCHEZ

Roselyn Sanchez (36 ans) Roselyn Sanchez est née le 2 avril 1973 à San Juan, PORTO RICO .
Elle a grandi là-bas à San Juan avec sa mère, son père et ses trois grands frères. En dépit d'un intérêt permanent pour le monde du spectacle, Roselyn décide d’étudier le marketing à l'université de Porto Rico.



Cependant, après trois années, elle décide de tout arrêter et de réaliser son rêve en prenant des cours de théâtre, de chant et de danse.
Elle débarque donc à New-York à l'âge de 21 ans. En 2001, elle fait une prestation très remarquée dans le film "Rush hour 2".